La faute à Dutronc

Angers inspire. Cinquante-deux ans après Boby Lapointe, qui évoque les « seins angevins » et autre « Angevine de poitrine » dans Avanie & Framboise, c’est Thomas Dutronc qui cite la cité des bords de Maine dans On ne sait plus s’ennuyer : « En plein centre ville d’Angers / Y’a du danger sans la 3G ». Epoque formid’. Certains ont pris conscience qu’il y avait de la vie de l’autre côté du périph’. La dernière campagne de pub pour partir s’installer à Metz en est une autre preuve. Merci le TGV. D’après Le Monde –chopé chez le coiffeur-, l’Ile de France afficherait « un solde migratoire déficitaire de quelque 80 000 personnes chaque année ». La faute à qui ? A l’immobilier, au métro, au gris, aux aigris, au fric, aux fringues et à Thomas Dutronc : http://www.youtube.com/watch?v=VAfeqAYndZY