« On peut en boire jusqu’au bout de la nuit… » Souvenez-vous : c’était le slogan de la… Tourtel ! La quoi ? Une bière fruitée sans alcool, débarquée dans les rayons des supermarchés à la fin des années 1980. Trois décennies plus tard, le verbatim peut s’appliquer à… Nespresso. La marque, installée à Lausanne, communique désormais sur l’idée de boire du café du matin jusque tard dans la soirée. On oublie, donc, l’idée reçue selon laquelle on ne dort pas, ou moins bien, si l’on abuse du « p’tit noir » avant de se coucher. La preuve : un duo de barista et mixologiste - dénominations du 21e siècle pour… barman - a reçu VIP et journalistes dans un loft de la rue du Pont-aux-Choux, le temps de leur montrer et démontrer qu’une capsule de café - en version Vertuo - peut aussi servir de base à des cocktails. Les rois du shaker ont coup sur coup mêlé, mélangé, agité, versé, café et cidre, café et tequila, café et poiré Sassy. Bluffant.
Bruncheurs, « cheese & sweets », tequila et yuzu
La démo clôturait une journée que Nespresso avait ponctuée de « coffee moments ». Les lève-tôt démarraient dès le petit-déjeuner, les bruncheurs se pointaient pour le « cheese & sweets », les flâneurs profitaient du « goûter gourmet » autour du « glacé » et les amateurs de sensations nouvelles testaient l’apéro, rebaptisé « aperitivo ». On a aimé le mariage cidre-café et l’habileté du « mixo » à jouer avec la tequila et le jus de yuzu. Arrivés en décalé pour le goûter, on a quand même eu le temps de jeter un œil, derrière un rideau de lanières colorées, sur les « variations Confetto ». Cette collection de capsules, en série limitée, s’inspire des bonbons et berlingots d’autrefois. Associée au grand cru Livanto, elle se décline en Licorice - pour les fans de réglisse -, Orangette - comme son nom l’indique… - et Snowball - en hommage à la meringue -. Un mot de la parure des capsules Confetto, dispo à partir du 30 octobre : les artistes australiens Craig & Karl les ont revêtues de rayures acidulées, dignes des gourmandises planquées dans les bonbonnières des boulangeries d’après-guerre. Du vintage qui se boit : on n’avait pas vu ça… comme ça.