Il continue ses « devoirs de vacances ». Le photographe Bruno Comtesse, connu pour les halls du XVIe arrondissement qu’il a immortalisés, s’intéresse cette fois aux plaques nominatives des villas tropéziennes. Autre ambiance, autre climat et autre source d’inspiration pour un barbecue imaginaire, avec une version « terroir » du vrai pirate Paul Watson, cofondateur de Greenpeace, aperçu cette semaine au Club 55 :

« - Tu sais bien, après le 15, on ne fait plus de fête sur les plages. Ça se passe ça dans les villas… Je tiens cette confession d’un pirate. C’est comme ça qu’il s’est présenté à moi, avec cet accent du midi, à la fois pittoresque et insupportable. Ce pirate est une figure incontournable de la plage du Club 55. Son territoire ? Le terrain de volley, où l’enjeu des parties ne se limite pas à l’apéro... - D’ailleurs dimanche, tu n’as qu’à venir. Y’a un barbecue dans la villa de… Le vrombissement de l’hélico a couvert sa voix. Je lui ai demandé de répéter. Mais son skate glissait déjà sur le bitume de Pampelonne. Pas grave, je vais bien trouver. Je vais commencer par les figures des nuits tropéziennes. Je suis à deux pas de chez Sergio, un producteur repérable à ses costumes aussi blancs que sa Bentley et les gravillons du parking. L’employé de maison me répond qu’il est à Ibiza : Et pas la peine de sonner au Nirvana, ils y sont ensemble… » A suivre.

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