Ces Parisiens, si suffisantsSociété 0 Question : quel est l’hebdo à acheter absolument cette semaine ? Réponse : Courrier International. Rien que la « une » vaut le coup d’œil, avec un dessin de Jean-Philippe Delhomme pour illustrer un dossier consacré aux Parisiens et aux « quelques raisons de les détester ». Imaginez cette couverture de magazine en ce moment même sur les kiosques de la capitale : génial. De la provoc aussi bien sentie, on en voudrait tous les jours. Car, même si je suis née à Paris, moi aussi je fais overdose de certains Parisiens. Ces Parisiens si suffisants, qui friment avec rien et font la gueule partout. Sans concession, Courrier International épingle pêle-mêle les garçons de café, les couche-tôt, les pervers, les accros au Vélib’, la saleté des rues ou encore les prix exorbitants pratiqués dans les bistrots et les restos. Rien n’est épargné. Même pas le magasin Merci, temple de la mode bobo et écolo, qui a défrayé la chronique lors de son ouverture, alors qu’à Londres ou Berlin la création d’une telle boutique n’aurait été qu’un micro événement. Les Parisiens les plus caricaturaux s’en prennent donc plein la tronche. Il était temps. Epoque vraiment formidable.
Question : quel est l’hebdo à acheter absolument cette semaine ? Réponse : Courrier International. Rien que la « une » vaut le coup d’œil, avec un dessin de Jean-Philippe Delhomme pour illustrer un dossier consacré aux Parisiens et aux « quelques raisons de les détester ». Imaginez cette couverture de magazine en ce moment même sur les kiosques de la capitale : génial. De la provoc aussi bien sentie, on en voudrait tous les jours. Car, même si je suis née à Paris, moi aussi je fais overdose de certains Parisiens. Ces Parisiens si suffisants, qui friment avec rien et font la gueule partout. Sans concession, Courrier International épingle pêle-mêle les garçons de café, les couche-tôt, les pervers, les accros au Vélib’, la saleté des rues ou encore les prix exorbitants pratiqués dans les bistrots et les restos. Rien n’est épargné. Même pas le magasin Merci, temple de la mode bobo et écolo, qui a défrayé la chronique lors de son ouverture, alors qu’à Londres ou Berlin la création d’une telle boutique n’aurait été qu’un micro événement. Les Parisiens les plus caricaturaux s’en prennent donc plein la tronche. Il était temps. Epoque vraiment formidable.