Dessous de tables

Pas toujours très clairs les liens entre attachés de presse, chefs et journalistes. Le « fouineur » et blogueur Franck Pinay-Rabaroust propose un papier et une réflexion sur le sujet, plutôt bien ficelés. C’est vrai que dire du mal d’une table quand on n’a pas payé son addition ou que l’on y est venu avec femme, mari, enfants, parents, ce n’est pas facile. Voire impossible. Et je passe sur les connivences ou complicités en tout genre entre certains chefs et quelques journalistes. A titre perso, j’ai le souvenir d’un chroniqueur gastronomique payé, cher et en cash, par une agence de com’ pour rédiger le dossier de presse d’un nouveau resto parisien ouvert par un étoilé. Dans sa prestation, il avait inclus la publication programmée de deux articles dithyrambiques sur le resto en question, dans un mensuel et un hebdo à gros tirages. Epoque formidable et bonne lecture en cliquant ici.