A la veille du coup d’envoi de la Coupe du monde de foot, « les paris sont ouverts » avec l’écrivain et essayiste Philippe Vilain en page 91 de la revue 1 Epok formidable. Selon lui, « les paris possèdent la vertu de personnaliser le rapport au sport, d’impliquer le parieur, tel un actionnaire, par un intéressement direct à ses bénéfices, et, ce faisant, de perfectionner ses connaissances et son expertise pour circonscrire la part d’aléatoire du sport. » Ça vous a plu ? Vous en demandez encore ? Rendez-vous en librairie : le n°1 d’1 Epok formidable est sorti !